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 -- heart made of glass, my mind of stone.
Mustache Marshall :: — I'VE JUST SEEN A FACE :: my little corner of the world :: take a walk on the wild side

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Lana Yates
Lana Yates

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Sujet: -- heart made of glass, my mind of stone.   -- heart made of glass, my mind of stone. Empty22.01.22 11:25



lana yates
isn't it enough now that you know our chance is gone. [WOLFGANG, MIDNIGHT DANCERS.]
FT. ADELAIDE KANE
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- - - broken crown
[ÂGE, LIEU DE NAISSANCE] C’est à Brighton, en Angleterre, que sa mère l’a mise au monde, au début d’un chaud mois de juin. Ainsi, Lena vient tout juste de célébrer ses vingt-neuf ans, ce qui la rapproche de la tant redoutée trentaine. Ce nouveau cap, que tant de jeunes adultes craignent, la laisse plutôt indifférente, bien qu’elle aurait préféré avoir accompli davantage avant de le franchir. À l’aube de la trentaine, avec comme seul accomplissement le douloureux souvenir d’un mariage qu’elle a détruit et ce creux au ventre quand elle pense à cet enfant qu’elle aurait pu avoir, et celui qu’elle n’a toujours pas. [NATIONALITÉ, ORIGINES] De nationalité anglaise, Lana tient de ses deux parents ses origines typiquement britanniques. Dans ses veines coule cependant une diversité un peu éloignée dans sa généalogie, un atypique mélange grec et hongrois qu’elle tient des ascendants de son côté maternel. Elle rêve d’ailleurs de retourner dans la grèce natale de ses grands-parents, car le vague souvenir qu’elle en garde est époustouflant. [OCCUPATION, SITUATION FINANCIÈRE] Lana a cette chance inouïe de pouvoir gagner sa vie avec sa plus grande passion. Le ballet, qui n’était qu’un passe-temps pendant une période de sa vie, ou ce qui s’apparentaient pour certains à des rêveries de gamine, est à présent son gagne-pain. Lana est danseuse de ballet dans une troupe professionnelle. Accessoirement, elle enseigne la danse classique à des petites filles dans un petit studio, plusieurs jours par semaine, autant pour arrondir ses fins de mois que par amour de transmettre sa passion à la relève. Elle a cependant, du jour au lendemain, tout laissé tomber pour retourner au bercail. Une sabbatique impromptue justifiée par un appel qui est venu tout chambouler. [STATUT CIVIL] Officiellement, Lana est mariée. Du moins, c’est ce que stipulent ses papiers. L’alliance qu’elle garde précieusement, dissimulée dans un petit boîtier au fond d’un tiroir, est d’ailleurs la seule chose qu’il lui reste de son mariage, outre ses intarissables regrets. Elle entretient depuis un peu plus de deux ans une relation sans attaches avec son partenaire de danse. Elle s'efforce de croire qu’il y a entre eux ne serait-ce qu’un peu d’amour, mais en vérité son cœur, meurtri et gorgé de remords, n’appartiendra jamais qu’à un seul homme. [SITUATION FAMILIALE] Lana, l’enfant du milieu, qui se situe entre une sœur de trois ans son aîné avec qui elle ne s’est bien entendue que brièvement au cours de leur jeunesse et une soeur plus jeune de six ans. Sa mère, qui aurait tellement voulu qu’elle soit davantage comme elle, mais avec qui elle a si peu en commun, est partie quand un homme aux mille promesses vint l’arracher à sa famille, peu après son union à Ruben. Et puis il y a son père, cet homme simple, bon vivant, celui qu’elle a toujours admiré, et que la vie vient de lui enlever, sans qu’elle ne puisse lui dire un dernier aurevoir. [CINQ CHOSES FAVORITES] Le ballet, qui bien qu’au préalable imposé par sa mère, s’avère à présent une réelle passion pour elle. Lana ne fait pas qu’aimer la danse, c’est vital, c'est son oxygène. C’est ce qui la pousse à toujours se surpasser, c’est son équilibre mental et physique. C’est à travers la danse qu’elle s’extériorise, qu’elle se libère, qu’elle se perd et se retrouve. Elle évacue ses émotions par ses mouvements, ses performances, et s’y consacre d’ailleurs avec une intensité parfois même démesurée. Quand elle enfile ses chaussons et son justaucorps, il n’y a plus rien qui compte. Elle s'abandonne et fuit la réalité. ✼ Ses goûts musicaux n’ont rien à voir avec la délicatesse des mélodies classiques sur lesquelles elle performe. Grande amoureuse de la musique, et ce depuis aussi longtemps qu’elle se souvienne, elle affectionne particulièrement le vieux rock et le grunge, bien qu’elle apprécie également de nombreux autres genres. Elle a d’ailleurs une impressionnante collections de vinyles, qu’elle fait jouer sur une table tournante dénichée par hasard dans une brocante. La musique, c'est son quotidien, son échappatoire. Elle a le son, le rythme, qui lui coulent dans les veines. ✼ Les distinctives odeurs de garage qui, bien qu’elles puissent pour certains sembler déplaisantes, lui rappellent irrémédiablement son père, et par le fait même, son enfance. L’essence, le graisse, le caoutchouc des pneus, le cambouis qui tachait les mains, les vêtements, et un peu tout autour. Ces odeurs particulières qui sont synonymes de souvenirs qu’elle chérit, ces journées entières passées à ses côtés, à lui nuire plus qu’à l’aider, à salir ses robes, au grand dam de sa mère. Ces odeurs, qui, malgré elle, lui font également penser à lui. Ruben. ✼ Son point faible, et source de dépenses aussi impulsives que démesurées, la lingerie fine. Ses tiroirs abondent de soutien-gorge en dentelle, de délicats bustier brodés, de nuisettes vaporeuses et révélatrices, d’ensembles satinés, et même de quelques corsets. Elle en a de toutes les couleurs, de tous les gens et matériaux, qui se prêtent à toutes les occasions, que ce soit pour un usage quotidien ou une soirée un peu plus osée. Il ne lui est d’ailleurs pas possible de sortir de chez elle si ses sous-vêtements ne sont pas non seulement parfaitement agencés, mais aussi harmonisés avec les vêtements qu’elle porte. ✼ Elle n’a pas de talent particulier pour la photographie, mais Lana est une grande sentimentale et les souvenirs cumulés au fil des ans ont pour elle une haute importance. Dans une autre vie, c’était son mari derrière l’appareil. Aujourd’hui, elle se contente d’humbles clichés, pris sur le vif avec son téléphone, emprisonnant pour la vie de petits ou grands moments du quotidien. Elle accumule les photographies, qu’elle fait sporadiquement imprimer, pour ensuite les classer dans de nombreux albums photos. Ces albums font partie de ce qu’elle a de plus précieux, surtout ceux qui renferment les clichés d’avant, ceux qu’elle ne se permet que rarement de regarder. [SAISON FAVORITE] Elle a toujours préféré le printemps aux autres saisons, cette douce période de renouveau, la nature qui s'anime et s'épanouie tranquillement après un long repos rude et froid dans un sublime spectacle. Elle aime particulièrement les délicates effluves des fleurs qui s’éveillent, les teintes que prennent les arbres gorgés de bourgeons et les pépiements des oiseaux au levé du soleil. La chaleur qui s’installe timidement, le soleil dévoilant ses premiers rayons, offrant une température idéale, ni trop chaude, ni trop froide. [TRAITS DE CARACTÈRE] Passionnée, entêtée, impulsive, douce, rêveuse, persévérante, déterminée, créative, appliquée, introvertie, mélancolique, émotive, perdue, brisée, maternelle, peu sûre d’elle-même, exigeante, méfiante, sensible, taciturne, repentante, instable, confuse, modeste, attentionnée.

- - - awake my soul
le festival de l'automne
le Chat-Club
ses habitants excentriques
les diverses protestations
l'entraide entre habitants
la maison hantée
l'autobus pour Hartford
les spectacles au parc
les enchères de paniers pic-nique
le labyrinthe de paille géant
le carnaval d'hiver
son ambiance conviviale
le café du Kessler's
l'aspect 'petite ville'
un rendez-vous au Jojo's
la légende sur sa fondation
la pâtisserie Weston's
les petites boutiques uniques et variées

le marathon de danse
les town meetings
le fameux tricothon annuel
les maisons chaleureuses
le maire
romance sous le gazebo
le marché noir à l'auberge
écouter le troubadour
les tonnes de décorations installées à chaque fête
- - - whispers in the dark
| 001 | Lana et son père, diamétralement opposés, complètement différents, et pourtant au sein de la famille, c’est avec lui qu’elle avait toujours davantage connecté. Si sa sœur aînée était plus proche de leur mère, Lana était, quant à elle, beaucoup plus proche de son père, avec qui elle entretenait une relation privilégiée. Enfant, elle avait pour habitude de s’installer dans son garage, parfois toute la journée, souhaitant constamment lui venir en aide et faire comme lui. Rien ne lui faisait plus plaisir qu’apprendre les rudiments du métier de mécanicien, et elle disait à qui voulait l’entendre qu’un jour, elle ferait comme son père. Si en vieillissant elle perdit intérêt pour les tâches qu’il exécutait dans son atelier, elle n’en perdit pas moins l’habitude de l’accompagner durant celles-ci, que ce soit au retour de l’école ou dans ses moments de liberté. Parfois en lui donnant un coup de main, en souvenir de son enfance, d’autres fois assise dans un coin, sur quelques pneus empilés, le distrayant de ses monologues incessants. Son père, son premier confident, le premier homme qu’elle a réellement admiré, et en quelque sorte, son héros. Et lui, bien qu’il ne l’aura jamais réellement comprise, l’aura supportée jusqu’à la fin, dans ses bons, comme dans ses mauvais choix. | 002 | Dès le départ, elle savait. Les rapides battements de son cœur, les papillons virevoltant dans son ventre, le sourire idiot qui étirait ses lèvres, et ses yeux qui pétillaient simplement quand elle pensait à lui. Elle savait. C’était lui. Ruben. Il avait dérobé son cœur avant même qu’elle ne s’en rende compte. Lana ne croyait pas à l’âme sœur. Elle croyait cependant qu’il était possible de trouver la bonne personne. Et le bon, elle l’avait attendu, un peu nonchalamment, en se disant qu’il finirait bien par arriver. Puis elle avait rencontré Ruben. Il l’avait immédiatement charmée, avec  son sourire enjôleur et son regard espiègle. Son rire singulier, qui la faisait rire à son tour. On lui avait dit qu’elle était naïve, qu’elle était sotte. Qu’on ne trouvait pas l’amour de sa vie aussi jeune. Qu’une amourette de jeunesse, ça n’avait rien du vrai amour. Mais Lana, elle savait. Et c’est sans hésiter qu’elle accepta de l’épouser. Un peu par esprit de contradiction, pour faire taire ceux qui prétendaient que c’était trop rapide. Mais aussi par réelle conviction qu’il était l’amour de sa vie. C’est au fil d’un quotidien heureux, épanoui, qu’ils se apprirent à se découvrir, en apprivoisant la vie d’adulte à deux. | 003 | Elle n’avait jamais réellement pensé à avoir des enfants. Fonder une famille ne faisait pas parti de ses projets. Ou du moins, c’était le cas avant Ruben. Ce n’est que suite à leur mariage que l’idée germa en elle, prenant de l’expansion à une vitesse fulgurante, si bien qu’il ne se fallu que de quelques mois pour qu’elle en ressente la nécessité absolue. C’était non seulement la suite logique, mais aussi ce qu’elle souhaitait ardemment. Elle ne savait pas si elle avait en elle la fibre maternelle,  mais était convaincue d’une chose : plus que tout elle voulait créer avec l’homme qu’elle aimait une petite vie, une parfait mélange d’elle et lui. Elle se surprenait souvent à contempler envieusement le ventre arrondi de femmes qui portaient la vie, et à imaginer les traits que leur enfant à eux aurait. Aurait-il les yeux rieurs de Ruben, et sa moue singulière? Ou alors sa peau laiteuse à elle, et ses cheveux sombres? Mais Lana avait peur. Peur de l’effrayer en brûlant des étapes, peur que ses désirs ne soient pas les siens. Ainsi, elle gardait secret son désir de fonder avec lui une famille, attendant le bon moment. | 004 | C’est à la suite d’un malaise qu’on lui appris la nouvelle, banalement, comme on parle du beau temps. Une empathie feinte dans la voix, qui frôle une froideur qui se veut professionnelle. Il lui dit qu’il est désolé, avec détachement, et elle, son monde s’écroula. Elle avait fait une fausse couche. Elle venait de perdre une partie d’elle, un petit être dont elle ignorait même l’existence jusqu’à ce moment. Complètement bouleversée, quelque chose se brisa en elle. Ce bébé, elle l’avait espéré, secrètement, et de l’avoir perdu sans même avoir eu le temps de s’y attacher, sans avoir rien pu faire pour le protéger l’anéantit. Automatiquement s’enclancha une torture mentale, qui persista pendant des jours, des semaines. Des tonnes de Et si, en boucle, lui martelant l’esprit, qui restaient sans réponse. Et si elle avait fait davantage attention aux signes de son corps. Et si elle avait su, qu’aurait-elle fait autrement. Elle devint l’ombre d’elle-même, brisée, perdue, terriblement triste. Elle aurait voulu lui en parler, à Ruben. Elle aurait voulu déverser dans son étreinte son chagrin, se perdre dans ses bras rassurants, mais elle ne savait comment le lui dire. Elle ne savait comment lui expliquer ce creux dans son ventre, ce vide. Elle n’arrivait pas à comprendre elle-même l’étendu de sa tristesse, alors comment lui, pourrait-il comprendre? Dans ses yeux, elle ne voyait que cet enfant qu’ils auraient pu avoir, et elle en arriva à ne plus pouvoir le regarder. Alors elle s’isola, se détacha, se renferma complètement sur elle-même. C’est lors d’une soirée aux infatigables incertitudes qu’elle commit la pire erreur de sa vie. Celle de s’effacer de celle de Ruben. | 005 | À la base, elle ne prévoyait partir que quelques semaines tout au plus, le temps de se remettre de cette épreuve qu’elle peinait à surmonter, de se de s’extirper de cet exténuant état de léthargie. Mais sans même qu’elle ne s’en rendre vraiment compte, les semaines devinrent des mois, et les mois se succédèrent pour devenir un an, puis des années. Plus le temps passait, moins il lui était envisageable de retourner à Brighton. Pas une journée ne passait sans qu’elle regrette d’avoir choisi la fuite, plutôt que de laisser Ruben l’accompagner dans sa profonde déception, dans sa douleur. Elle s’imaginait tout le mal qu’elle avait fait à l’homme qu’elle aimait, la haine qu’il devait ressentir à son égard, et elle prenait peur à l’idée de l’affronter. En vérité, elle était terrifiée de constater les ravages qu’elle avait causés, la seconde ou elle avait franchi la porte de leur maison. Ainsi, elle avait laissé le temps filer, et les années passer, se bâtissant une nouvelle vie dans laquelle elle s’efforçait d’oublier. | 006 | C’est sans vraiment s’y attendre qu’elle s’attacha à lui. C’était même la dernière chose à laquelle elle se serait attendue. Ils dansaient ensemble, formant le duo central de la troupe qu’elle avait intégrée. Aux premiers abords, leur relation était strictement professionnelle. Même qu’elle le trouvait arrogant, condescendant, tellement qu’il en était presqu’intimidant. Imbu de lui-même, charmeur, un brin narquois, il représentait tout ce qu’elle avait toujours détesté chez un homme. Surtout, il était fidèle à ce que sa réputation laissait entendre. On l’avait bien prévenue, il était insupportable, et aucune danseuse n’était parvenue à le tolérer comme partenaire. Immédiatement, il l’irrita. Puis, elle dansa avec lui. Et tout changea. Leurs corps se mariaient à la perfection, glissaient harmonieusement l’un contre l’autre, ondulaient en symbiose, sa poigne était ferme, mais fluide. Ils se complétaient, se comprenaient, s’attiraient et se repoussaient avec facilité et à travers leurs mouvements transparaissait leur féroce passion commune. Sur scène, ils forme un duo à l’intimité captivante, enivrante, et de leurs performances émane une aura indescriptible. Au fil des mois, elle appris à le connaître un peu, se laissa charmer, l’ensorcela à son tour, puis un soir, s’abandonna entre ses bras, dans ses draps, retrouvant une chaleur qui lui avait manquée. Leur relation est ambiguë, parfois explosive, elle a quelque chose de malsain, et pourtant, leur chimie est indéniable. Ils ont besoin l'un de l'autre. Il ne sait pas vraiment comment l’aimer, et puis elle, elle sait qu’elle ne l’aimera jamais. Ils ont tous les deux un passé duquel ils ne parlent jamais, et ensemble, ils tentent de le fuir, pensant qu’ils vont se réparer, alors qu’en vérité, ils ne font que se détruire un peu plus. Mais il lui permet d’oublier. | 007 | Elle aurait reconnu sa voix parmi mille. Même après six ans. En dépit de la froideur dans son ton. Quelques mots, lâchés rapidement, sans qu’elle ne puisse dire quoi que ce soit. Quelques mots qui eurent l’effet d’un choc électrique. D’une bombe qui fit exploser son cœur, lui coupant la respiration. D’entendre sa voix, pour la première fois depuis toutes ces années, la décontenança. Mais ce qu’il lui annonça l’acheva, complètement. Paralysée, elle avait l’impression de suffoquer. « Ton père est décédé, tu n’étais pas là. Le garage t’appartient, maintenant. » Les mots de Ruben, qui résonnaient en elle, en boucle, mais qu’elle refusait d’accepter. C’était impossible, impensable. Elle aurait voulu se convaincre que cet appel était une vengeance, une mauvaise plaisanterie de la part de son mari, mais au fond d’elle, elle savait. Elle savait que si Ruben l’avait appelée, brisant le silence entre eux, ça ne pouvait être que parce que c’était la vérité. Vérité qu’elle n’arrivait tout simplement pas à assimiler. Son père, son héros, était parti, et elle n’avait pas pu lui dire aurevoir. Elle n’avait pas pu le voir une dernière fois, avant qu’il ne la quitte pour toujours. Elle ne s’était jamais autant détestée d’avoir tout gâché, avec lui, avec Ruben. Et un déclic se fit en elle. Il était trop tard. Trop tard pour rattraper cette gaffe qu’elle avait fait avec son père. Trop tard, rien ne le ramènerait, rien ne lui ramènerait ce qu’elle avait manqué. Et cet atroce constat fit naitre en elle un infime espoir. L’espoir illusoire qu’avec Ruben, il n’était pas encore trop tard. Ce qu’ils avaient avant était probablement brisé à jamais. Sans doute ne l’aimerait-il plus jamais comme il l’avait aimée, et surement qu’elle n’aurait jamais son pardon. Mais il n’était pas trop tard pour lui donner ce qu’il méritait. Des explications.

- - - ghosts that we knew
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