AccueilAccueil  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  Dernières imagesDernières images  Connexion  



 
Le Deal du moment : -28%
Précommande : Smartphone Google Pixel 8a 5G ...
Voir le deal
389 €

 

 -- sleeping sickness.
Mustache Marshall :: — I'VE JUST SEEN A FACE :: my little corner of the world :: take a walk on the wild side

Aller en bas 

Ruben Keaton
Ruben Keaton

- - - - - -

- - - first - - -
posts : 8
- - second - -

-- sleeping sickness. Empty
Sujet: -- sleeping sickness.   -- sleeping sickness. Empty15.01.22 16:59



ruben keaton
fingers tap into what you were once and I'm worried that I blew my only chance. but my heart was colder when you'd gone and I lost my head. [MUMFORD & SONS.]
FT. JULIAN MORRIS
- - - ☆ - - -
- - - broken crown
[ÂGE, DATE ET LIEU DE NAISSANCE] Le cap fatidique de la trentaine déjà franchi et dépassé. Trente-et-une années qu’il réside dans la ville qui l’a vu naître. Brighton, Angleterre. [NATIONALITÉ, ORIGINES] De sa mère, il a hérité d’origines anglaises. De son père, il n’en a pas la moindre idée. Enfant, il se plaisait à lui inventer une identité confectionné de toute pièce à partir de divers héros ou figures connues. Si en réalité il l’ignore, il aime bien s’imaginer une bagage génétique plus étoffé que simplement anglais. [OCCUPATION, SITUATION FINANCIÈRE] Mécanicien. Ses mains constamment souillées, la noirceur incrustée sous ses ongles malgré ses bonnes intentions. Un emploi qu’il a pris il y a longtemps parce qu’il avait besoin d’argent. Ce serait temporaire, se rassurait-il. Toujours là, plus présent que jamais, en fait. Alors que le propriétaire – et mentor - est récemment décédé, il se retrouve à gérer l’endroit, lui qui rêvait de s’en évader depuis bien longtemps. [STATUT CIVIL] On s’amuse à le dire vieux garçon ou éternel célibataire. La plupart de ses nouveaux amis croient qu’il ne se casera jamais. Ses anciens parviennent même à oublier qu’il est pourtant toujours marié. Lui, il ne parvient pas à l’oublier, bien qu’il n’ait pas vu sa femme depuis six ans. L’anneau remisé dans un tiroir refait parfois surface et orne son doigt l’instant d’un songe nostalgique. [SITUATION FAMILIALE] Il était une erreur. Il le sait, il l’a toujours su. Des jeunes années mouvementés avec une mère qui n’arrivait pas à accepter ce rôle et, finalement, une stabilité rassurante quand il emménagé chez sa tante. Emportée par la maladie peu après que Ruben ait fêté son vingt-et-unième anniversaire, il s’est longtemps considéré orphelin. [CINQ CHOSES FAVORITES] la photographie – sa motocyclette vintage – brighton – les roadtrips – son atelier. [SAISON PRÉFÉRÉE] Tant que la température est suffisamment clémente pour le laisser prendre la route sur sa motocyclette, il n’a pas réellement de préférence. Il aime voir les couleurs changer graduellement au fil des mois et leur trouve à chacune une particularité. [TRAITS DE CARACTÈRE] attentionné, conciliant, curieux, cynique, désintéressé, désordonné, détendu, distrait, fantasque, fidèle, franc, honnête, idiot, impatient, intrépide, jaloux, joueur, minutieux, orgeuilleux, rêveur, spontané, taquin, têtu. [GROUPE]  it's just like riding a bike.

- - - awake my soul
le festival de l'automne
le Chat-Club
ses habitants excentriques
les diverses protestations
l'entraide entre habitants
la maison hantée
l'autobus pour Hartford
les spectacles au parc
les enchères de paniers pic-nique
le labyrinthe de paille géant
le carnaval d'hiver
son ambiance conviviale
le café du Kessler's
l'aspect 'petite ville'
un rendez-vous au Jojo's
la légende sur sa fondation
la pâtisserie Weston's
les petites boutiques uniques et variées

le marathon de danse
les town meetings
le fameux tricothon annuel
les maisons chaleureuses
le maire
romance sous le gazebo
le marché noir à l'auberge
écouter le troubadour
les tonnes de décorations installées à chaque fête
- - - whispers in the dark
[oo1] Depuis le décès de sa tante, celle qu’il a appris à considérer comme sa propre mère au fil des années, Ruben se considère orphelin malgré que ses parents soient toujours en vie. En fait, peut-être que son père est mort, il n’en a aucune. Idée. Il ne connait pas même son nom et n’a jamais vu une seule photo de lui. Il n’a jamais eu de ressemblance physique avec sa mère très frappante et, il lui arrive souvent de se perdre dans ses pensées en se regardant dans un miroir. A-t-il les mêmes yeux que son père? Le nez? Le sourire, peut-être? Étrangement, il aime bien s’imaginer que quelque part dans le monde se balade un type d’une vingtaine d’années son aîné qui lui ressemble. S’ils se croisaient, se reconnaitraient-ils? Sa mère n’est pas décédée non plus. La dernière fois qu’il l’a vue, c’était à l’enterrement de sa tante. Malgré leurs promesses vides de garder contact, ils s’en tiennent qu’à un appel poli à Noël ou pour leurs anniversaires. Elle a une nouvelle vie, une nouvelle famille. Il est heureux pour elle, sincèrement, mais il n’arrive pas à se trouver une place dans ce tableau. [oo2] Il a fait ce que plusieurs appelle son ‘erreur de jeunesse’ lorsqu’il avait vingt-deux ans. Il a épousé celle qu’il croyait être la femme de sa vie. Il a entendu de nombreuses personnes lui conseiller de réfléchir avant de franchir ce cap, lui conseiller d’attendre. Ils étaient jeunes, trop jeunes. Naïfs. Ils ne savaient pas réellement dans quoi ils s’embarquaient. Il était persuadé qu’ils feraient taire les détracteurs. Et ils ont connu de belles années ensemble. A découvrir, à deux, l’âge adulte et l’amour. [oo3] Quelques années après leur mariage, les choses ont pris une tournure différente. Il sembla à Ruben que, du jour au lendemain, sa femme s’éloignait de lui, qu’elle se refermait sur elle-même. Il pouvait la sentir glisser entre ses doigts sans ne pouvoir rien quoi que ce soit pour la rattraper. Puis, il est rentré un soir et a trouvé la maison déserte, ses vêtements disparus. En guise d’au revoir, une note laissée sur la table. Quelques lignes écrites rapidement, le papier légèrement gondolé par endroit, là où les larmes avaient dû tomber. C’était il y a six ans. Il ne l’a jamais revue, si ce n’est que dans ses rêves, plus vrais que réalité, qui le tourmentent encore la nuit. Les papiers de divorce qu’il a reçus il y a quelques années en seule guise de signe de vie après tout ce temps. Il ne les a, d’ailleurs, jamais signés. [oo4] Il est passionné de photographie. Il l’a toujours été, du moins, elle fait partie de ses plus vieux souvenirs. En guise de jouet, un vieil appareil cassé. Il n’avait pas de film à l’intérieur, mais il s’amusait à faire comme si. Aujourd’hui, il affectionne toujours les appareils. En fait la collection, même. Si certains ne vivent que pour les nouvelles technologies, Ruben lui ne peut résister à un vieil appareil en bon état qui a fait ses preuves. Leur poids, leur design, le procédé pour développer les films. Il est resté vieux jeu. Il ne part jamais sans un de ses appareils. Il prend tout en photo. Les gens, les endroits, les choses. N’importe quoi qui attire son attention. Il a d’ailleurs une quantité folle de photos chez lui, remisées dans des boîtes qui s’empilent les unes sur les autres. [oo5] Depuis longtemps, il caresse le même rêve. Ce lui de partir, sur sa moto, un simple sac à dos et son appareil avec lui. Sillonner les routes, découvrir de nouveaux endroits. Il a toujours vécu à Brighton et l’idée de découvrir ce qui se cache ailleurs l’a toujours fasciné. Il aimerait partager ses photographies, ses voyages, … Il planifie ce voyage depuis longtemps et, pourtant, il ne met jamais de date, ne se fixe jamais de départ. Ce n’est jamais le bon moment, il trouvera toujours une nouvelle excuse. Quelque chose le retient à Brighton. [oo6] Il est devenu mécanicien peu après son mariage. Embauché par son beau-père, en fait. L’homme devait sans doute vouloir s’assurer que sa fille ne manque jamais de rien en offrant un emploi à son gendre. Ruben ne connaissait pas grand-chose et c’est lui qui lui a tout enseigné. Plus qu’un patron, plus que le père de sa femme. Il devint son mentor, la figure paternelle qui avait manqué à sa vie depuis toutes ces années. C’est peut-être bien pour ça qu’il est resté au garage si longtemps. Même après le départ de sa femme. Il est resté là, à travailler aux côtés de son beau-père. [oo7] Il y a un peu plus d’un an, il était en fait réellement sur le point de le faire. Partir. Quitter le garage, mais aussi Brighton. Probablement pas indéfiniment. Le temps de son voyage et, qui sait, si la vie ne le pousserait pas plus loin encore. Une date de départ et aucun de retour. Et, peu avant le grand jour, le verdict tomba. Son patron, le père de sa femme, était atteint d’un cancer vorace. Il ne pouvait pas partir, plus maintenant. Il est donc resté, remisant, encore une fois, ses projets et rêves. La réalité l’appelait. Il était responsable du garage, il était également au chevet de son beau-père avec la famille de ce dernier – sa famille d’adoption – a l’exception de sa femme. L’homme a succombé à la maladie et le voilà donc toujours au même endroit. [oo8] Il a récemment brisé ce silence des six dernières années. Il a trouvé dans les affaires de son mentor un numéro ainsi qu’une adresse qui semblaient appartenir à sa femme. Il ne savait pas si les informations étaient toujours correctes, mais il a téléphoné. Et, quand elle a décroché, il ne lui a pas laissé le temps de parler. Ton père est décédé, tu n’étais pas là. Le garage t’appartient, maintenant. Et il raccrocha. Si c’est lui qui s’occupe de l’endroit depuis un moment, il n’en est pas le propriétaire. Le garage légué à sa femme, la fille du propriétaire. Il a perçu le geste comme une blague du vieil homme, une façon astucieuse de les rapprocher après toutes ces années. Il s’occupe encore des clients qui viennent, il fait toujours son travail avec minutie. Mais l’endroit sombre tranquillement à l’abandon. L’enseigne brisée depuis plusieurs mois n’a toujours pas été remise en place. Comme un commerce anonyme, sans nom, sans annonce. Si ce n’était de la porte de garage qu’il laisse souvent ouverte, on pourrait croire que l’endroit a été clos. [oo9] Il ne s’est jamais casé après le départ de sa femme. Il a connu de courtes histoires, sans lendemain. Sans jamais s’engager, ni essayer de s’ouvrir à ces quelques femmes qui tombaient sous le charme de son mal, de son bagage. Elles auraient voulu le soigner, lui faire connaître l’amour une nouvelle fois. [o1o] Depuis son enfance, Ruben a des troubles du sommeil. Il souffre de somnambulisme et de somniloquie. Il a causé plus d’une peur à sa tante durant sa jeunesse, sortant de son lit au milieu de la nuit pour errer jusque dans les jardins des maisons avoisinantes. Aujourd’hui, c’est plutôt l’insomnie qui s’attaque à lui. Il n’est pas rare qu’il s’assoupisse ici et là, dans des endroits inopportuns à n'importe quelle heure de la journée. Il vit beaucoup de nuit, appréciant d'ailleurs les balades nocturnes pour se vider l'esprit.

- - - ghosts that we knew
[PRÉNOM, PSEUDO] joni. [ÂGE] 29 so oooold. [REGION/PAYS] ô canada. [FRÉQUENCE DE CONNEXION] depends. [OU AVEZ-VOUS DÉCOUVERT CRAP ON TOAST]  -- sleeping sickness. 899367295  [COMMENTAIRES]  -- sleeping sickness. 1314825665  [CRÉDITS] écrire ici.
Revenir en haut Aller en bas
 
-- sleeping sickness.
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Mustache Marshall :: — I'VE JUST SEEN A FACE :: my little corner of the world :: take a walk on the wild side-
Sauter vers: